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journée d’action le 02/02/2012 à la DGFIP et dans le Rhône
A Lyon, malgré le froid environ 70 à 80
agents dont 17 de Villefranche ont interpellé M. Moncéré (mal à l’aise)
qui a essayé de justifier la politique des suppressions d’emplois par
l’importance de la dette (tollé général !) et à tenté d’apporter des
réponse apaisantes aux préoccupations et difficultés des agents qu’il ne
nient pas par des mesures à venir qui ne manqueront pas de poser
quelques interrogations et mériterons une analyse plus poussée :
simplifications des procédures, ouvertures réduite au public ? etc.... A
suivre ! Le constat de plus en plus partagé (c’est nouveau) de la
situation des agents et des services, la nature des réponses qui
risquent d’être apportée à cette situation et qui ne prend pas en compte
les attentes des personnels (emplois, rémunération) sont la
démonstration de l’impasse explosive dans laquelle est plongée notre
administration. Oui l’action des personnels était et sera nécessaire
pour faire bouger les choses dans un sens positif.
Au niveau national près d’1 agent sur 3 était en grève à la DGFIP.
Vive la lutte
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Article publié le 6 février 2012.